Attentat du 11 septembre 2001
A qui profite le crime ?
Pentagone touché ?
Vocation de l'école d'aviation
Son interprétation dans l'avenir
Les références
Mais encore …
by Pepe ©
 
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A qui profite le crime ?  Up Page
Les liens financiers occultes des Bush et des Ben Laden
Les auteurs des attentats du 11 septembre 2001 et les personnes informées de leurs intentions pouvaient anticiper certaines retombées économiques de cette attaque. Dès lors, ils pouvaient engager des manœuvres spéculatives sur les compagnies aériennes propriétaires des avions détournés, sur les sociétés ayant leur siège social dans les tours jumelles du World Trade Center, et sur les assurances concernées. Ils pouvaient aussi anticiper une probable baisse générale de l'ensemble des valeurs cotées en Bourse. Pour ce faire, ils devaient spéculer à la baisse en achetant non pas des actions, mais des "puts", c'est-à-dire des "options de vente".
 
Délits d'initiés
Au lendemain des attentats, des manœuvres caractéristiques du "délit d'initié" ont été constatées dans les six jours précédents l'attaque. L'action United Airlines (compagnie propriétaire des avions qui se sont écrasés sur la tour sud du WTC et à Pittsburg) a artificiellement chuté de 42 %. Celle d'American Airlines (compagnie propriétaire de l'appareil qui s'est écrasé sur la tour nord du WTC, et de celui qui se serait écrasé sur le Pentagone) a chuté de 39 %. Aucune autre compagnie aérienne dans le monde n'avait fait l'objet de manœuvres comparables, à l'exception de KLM Royal Dutch Airlines. De sorte que l'on peut déduire qu'un avion de la compagnie hollandaise avait probablement été choisi pour faire l'objet d'un cinquième détournement.
 
Des agissements identiques ont été constatés sur les options de vente des titres de Morgan Stanley Dean Witter & Co qui ont été multipliées par douze dans la semaine précédant les attentats. Or, cette société occupait vingt-deux étages du WTC. De même pour les options de vente sur les actions du premier courtier en Bourse du monde, Merrill Lynch & Co, dont le siège social se trouve dans un immeuble voisin menacé d'écroulement, qui ont été multipliées par vingt-cinq. Et surtout pour les options de vente sur les actions des assureurs impliqués : Munich Re, Swiss Re et Axa.
La Commission de contrôle des opérations boursières de Chicago a été la première à donner l'alerte. Elle a constaté qu'à la Bourse de Chicago, les initiés avaient réalisé 5 millions de dollars de plus-values sur United Airlines, 4 millions de dollars sur American Airlines, 1,2 millions de dollars sur Morgan Stanley Dean Witter & Co et 5,5 millions de dollars sur Merrill Lynch & Co.
 
Le partage des marchés afghan et irakien
Bien que l'administration Bush tente de maintenir le plus grand secret sur les contrats de reconstruction alloués aux entreprises états-uniennes en Afghanistan et en Irak, les plus importants ont été identifiés. Huit compagnies, dont les dirigeants sont liés au clan Bush ou se sont politiquement impliqués dans le déclenchement de ces guerres, ont chacune bénéficié de contrats publics de plus de 500 millions de dollars. La part du lion revient à Halliburton/KRB, la société du vice-président Dick Cheney.

Pentagone touché ?  Up Page
Les mystères de l'attentat contre le Pentagone
La version officielle de l'attentat du 11 septembre au Pentagone soulève de graves questions. Etant donné la taille de l'avion et sa vitesse minimale de vol, on comprend mal comment il peut avoir provoqué si peu de dégâts. Le bâtiment n'étant pas endommagé en profondeur, il semble que seul le nez de l'appareil s'y soit encastré
Comment se fait-il alors que l'épave du Boeing n'apparaisse sur aucune photographie ? L'autorité militaire a-t-elle cherché à cacher des événements supplémentaires non relatés, a-t-elle falsifié les faits ?
 
Boeing 757-200
L'appareil était un Boeing 757-200 mesurant 47,32 m de long, 13,6 m de haut, et 38 m d'envergure. Le diamètre de l'habitacle mesure 3,5 m. L'appareil aurait atterri sur l'héliport du Pentagone et aurait continué sa course pour s'encastrer dans la façade du bâtiment. Après avoir survolé les lampadaires, l'appareil ne disposait que de 125 m pour effectuer la manœuvre. Bien que le poids du Boeing approche les 100 tonnes et que sa vitesse à l'atterrissage soit au minimum de 400 km/h, seul le nez de l'avion s'est donc encastré dans le Pentagone, pénétrant le premier anneau.
La carlingue et les ailes sont restées à l'extérieur du bâtiment. Les réservoirs de kérosène, contenus dans les ailes, ont dû prendre feu. En effet, ce carburant n'est pas explosif, mais inflammable.
 
Détonation ou déflagration ?
On divise les matières premières en deux groupes, suivant leur progressivité. Les explosifs produisent une onde de choc dont la vitesse de propagation est supérieure à une valeur d'environ deux mille mètres par seconde. On dit qu'ils "détonnent". Les matières explosives dont la vitesse d'onde de choc enférieure ne détonnent pas. Elles déflagrent. Il s'agit par exemple de poudres ou d'hydrocarbures.
Cette image de l'impact sur le Pentagone est très instructive sur la nature de l'explosion. Sous la pression de l'onde de choc, l'eau contenue dans l'air ambiant s'est comprimée et a formé un nuage de vapeur.
La vitesse de propagation de l'onde de choc est très élevée. Elle correspond à une détonation d'explosif à haut pouvoir énergétique.L'explosion ne correspond pas à une déflagration de kérosène.
1. Trace de fumée d'un propulseur
2. Nuage de vapeur d'eau sous pression
3. L'explosion se déploie de l'intérieur du bâtiment
 
Pentagone et World Trade Center
Pentagone
Développement de la flamme. La couleur n'est pas celle d'une flamme d'hydrocarbure en plein air.
 
World Trade Center
La couleur jaune témoigne d'une plus basse température de combustion. La flamme est mêlée de fumées noires et lourdes. C'est celle de la combustion d'hydrocarbures dans l'air.
La flamme descend, aasez lentement, en avant de la façade. Au contraire, celle du Pentagone monte vevement de l'intérieur du bâtiment.

 
Trajectoire improbable

Selon la version officielle, un Boeing de plus de cent tonnes et de 38 mètres d'envergure a traversé les trois bâtiments.
L'orifice par lequel il est entré, de forme rectangulaire, mesure 5 à 6 mètres de largeur. Le trou de sortie, de forme circulaire, mesure 2,30 mètres de diamètre ...
Le Boeing se serait "gazéifié" à 30 000 °, au rez-de-chaussée de l'immeuble, sans endommager les étages supérieurs. La flèche blanche représente la trajectoire et la pointe, l'endroit où est "sorti son nez".
 
Analyse après incendie
Les suies et les fenêtres
Les suies qui couvrent la façade sont un mélange qui correspond à un incendie classique et à une onde de choc d'un explosif à haute performance. Ce n'est en aucun cas la couche grasse et épaisse que dépose un feu de kérosène. Les vitres ont été brisées et non pas fondues par un incendie d'hydrocarbures qui aurait duré plusieurs jours. Pen d'entre elles sont brisées. Les fenêtres atteintes sont situées essentiellement près du point d'explosion et au niveau des bas étages.
 
L'ossature du bâtiment
Les piliers verticaux, dont certains sont entourés de coffrages de bois, ont été fragilisés. Mais ils n'ont pas été broyés et brisés par le bord d'attaque des ailes d'un avion de cent tonnes. Ils auraient en effet été atteintes par la partie du bard d'attaque située à peu près à l'endroit où sont fixés les moteurs, c'est-à-dire à la zone la plus solide.
 
Si un avion de ligne avait frappé le Pentagone, les ailes auraient touché les piliers verticaux approximativement au niveau du plancher sur lequel les hommes se tiennent debout. La zone fragilisée des piliers se situe au-dessous.
 
Impact de l'incendie
L'orifice par lequel est entré l'appareil mesure 5 à 6 mètres de large. Le mur du dessus est intact. Il n'a pas été percuté par la queue d'un Boeing 757-200. La pelouse est intacte. L'appareil n'ayant pas touché le sol. Selon le département de la Défense, "l'avion" serait arrivé de biais, selon un angle de 45°.
La "preuve" de l'avion
De nombreux journaux ont reproduit ce cliché en assurant qu'il représente un débris du vol American Airlines 77. Pourtant, ce morceua de tôle ne correspond à aucune pièce d'un Boeing 757-200 peint aux couleurs d'American Airlines. Il n'a d'ailleurs pas été recensé par le département de la Défense comme provenant du vol 77 ...

Vocation de l'école d'aviation  Up Page
Monde présent
La presse allemande avait déjà soulevé des interrogations sur Mohammed Atta, chef présumé des pirates de l'air présumés du 11 septembre, en dévoilant que le jeune homme bénéficiait d'une bourse d'études Fulbright attribuée par la CIA. Un nouveau livre fait tomber un pan supplémentaire des mensonges de l'administration Bush. Après avoir mené deux ans d'enquête en Floride, le journaliste Daniel Hopsicker en publie les conclusions dans un ouvrage qui démonte pièce par pièce le scénario officiel fabriqué par le FBI à propos d'Atta et de l'école d'aviation où il suivit des cours de pilotage. Welcome to Terrorland démontre que le propriétaire de cette école, Wally Hilliard, est un proche de l'administration Bush et de la CIA. Il bénéficiait par ailleurs d'une carte blanche de la DEA (lutte contre la drogue) pour transporter de l'héroïne. Le livre analyse également l'absurdité de la théorie selon laquelle Mohammed Atta se préparait à une mission suicide, expliquant les manipulations dont il faisait l'objet.

Son interprétation dans l'avenir  Up Page
Monde futur

Les références  Up Page
Réseau Pepe
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Je crois que, si les êtres humains que nous sommes ne parviennent pas toujours à évoluer comme ils le souhaiteraient _à s'épanouir professionnellement, sentimentalement et sexuellement (ce que j'appelle les "trois pôles d'intérêts", en psychologie)_ c'est parce qu'il y a des barrages qui entravent leur désir d'accéder à un rêve inachevé. Je pars du principe que tout est possible, à condition de s'entourer de gens qui nous poussent à croire en nous.
 
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Mais encore …  Up Page
Remember Pearl Harbor !
Le 11 septembre 2001, au moment où deux avions s'encastraient dans les tours du World Trade Center, les médias occidentaux évoquaient un nouveau « Pearl Harbor ». La référence à cet événement tragique de l'histoire des États-Unis est particulièrement ironique depuis que les archives déclassifiées du Pentagone ont permis d'établir que, non seulement l'attaque du 7 décembre 1941 n'était pas une surprise pour le président Franklin D. Roosevelt, mais qu'elle était même anticipée et préparée depuis plus d'un an. Le tout dans le but de convaincre l'opinion publique résolument isolationniste d'entrer en guerre contre les forces de l'Axe composées du Japon, de l'Allemagne nazie et de l'Italie fasciste.